Récupération de vieux contenus

Voici l'adresse retrouvée : Société Family Movie. Numérise 8; Super 8; 9.5; 16&35mm
Tph 0183814181
Mail Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
site : www.familymovie.fr
On a testé sur du 9.5 c'est plutot bien

Bonjour,
En parcourant les forums un peu au hasard, je tombe sur vos questions concernant la numérisation des diapositives.
D'abord, je suis sur "Arch Linux" depuis mon départ en retraite et donc pour moi qui dit scanner dit sane et xsane. wiki.archlinux.fr/sane

J'avais entrepris il y a maintenant plus de 20 ans de numériser toutes mes diapositives 6x6 et 24x36. Mon pauvre scanner de l'époque n'était pas conçu pour ce travail.
Je me suis donc fabriqué une boîte au format A4 dans laquelle j'ai mis un petit tube néon. Le dessus était composé d'une plaque de plexiglas au dessous de laquelle j'avais collé deux feuilles de papier calque afin de rendre l'éclairage plus homogène.
Il ne me restait plus qu'à découper une ouverture 6x6cm dans une feuille de papier carton canson de couleur noir collée sur le plexiglas. Même principe pour le 24x36.
Dans ces conditions très bidouille, numériser revenait à mettre la diapo sur l'ouverture puis à retourner cette "super boîte" face contre le scanner.
Chaque photo obtenue était ensuite traitée avec "Gimp". OUI, c'est très laborieux !
Exemples :
drive.google.com/file/d/1_-wvLB3Bbe0p6Po...6hv/view?usp=sharing

drive.google.com/file/d/1ZdEXiK_VuuFVYUq...-ji/view?usp=sharing

Je compressais de telle façon que l'encombrement soit toujours inférieur à 300ko, ce qui explique le manque de définition.

Bonjour
Puisqu'on est sur ce sujet de récupération des vieux contenus, du côté audio, il existe des platines 33t/45t à sortie USB et un lecteur de cassettes audio également à sortie USB. Enfin un machin a entré Péritel et à entrée Cinch 3 connecteurs (jaune, rouge blanc) qui numérise sur microSD. Le plus compliqué, donc, ça reste les films qu'on ne peut pas faire soi-même. Dans la ligne de la solution de Bechet, il y a des boites à lumière avec optique dépoli et miroir : tu places le projo face à l'optique, une caméra numérique face au dépoli. Le miroir se charge de tout rétablir dans le bon sens. Seul problème, la différence de la vitesse de projection (18im/s pour le super et de la caméra (25im/s entrelacé) et donc le papillotement induit par l'obturateur tournant du projo (généralement x3 donc 54 hz)

Je ne suis pas sûr d'avoir conservé la boite à lumière depuis que j'ai, comme Christiane, fait numériser mes films.